« Larmes de femme »
avec :
Stéphanie Olier (alto) et Joakim Lari (piano)
Mercredi 22 août 2018 – 20h30
Salle des Fêtes de Callac (place du 9 avril 1944)
Tarifs 8 € – tarif réduit (12-18 ans et EHPAD) 5 € –  abonnés 4 €
Gratuit pour les élèves de l’école de musique et les moins de 12 ans
Billets en vente aux magasins « La Presse callacoise » et « Armor Vêtements » de Callac
Réservation : http://callac-culture.fr/preinscriptions/reservations

Les Callacois l’avaient entendue trop brièvement en 2015 dans le rôle titre de Didon et Enée d’Henry Purcell. Stéphanie OLIER-PINARD (alto) revient à Callac pour un récital comme on les aime à Callac-Culture, une très belle voix d’alto, accompagnée au piano par Joakim LARI (pianiste). Dans leur programme, l’artiste lyrique et le pianiste nous invitent dans leur « Ménagerie » avec des œuvres de Poulenc, Berlioz, Ravel et Kurt Weill ou encore Gershwin.
La seconde partie du concert permettra de retrouver la chanteuse dans un répertoire totalement consacré aux « Larmes des femmes » dans l’opéra avec des extraits de Didon et Enée de Purcell, Rinaldo de Haendel, Otello de Rossini, Le Trouvère de Verdi, Eugène Onéguine de Tchaïkovski, Werther de Massenet et le Consul de Menotti.
Les artistes sont tous les deux professeurs à l’Ecole de musique et de danse du Kreiz Breizh.

Stéphanie OLIER-PINARD a une grande expérience de la scène. Elle chante avec l’ensemble vocal régional « Mélisme(s) », dirigé par Gildas Pungier depuis sa création en 2002 et dans le « Quatuor tout terrain » (humour musical a capella) depuis 2010. Elle intègre en 2011 le chœur du Théâtre des Champs Elysées à Paris.
A l’opéra de Rennes, elle interprète le rôle d’Erichtona dans « les travaux d’Hercule » de Claude Terrasse en 2007, d’une demoiselle d’honneur dans « der Freischütz » de Weber en 2005, Denise Badureau dans « Véronique » de Messager en 2004, mais aussi la première prieure dans « le dialogue des carmélites » de Poulenc à Rennes, la bonne dans « la chanson de Fortunio » d’Offenbach au festival Not ‘en bulles à Auray en 2004, Gaïa dans « Persée » création de Frédérique Lory en 2003, le contreténor dans « le roi Arthur » de Purcell à Lorient en 2003, la 2ème dame dans « Anne de Bretagne » de Pierrick Houdy en 2001 et le rôle titre d’ « Emilie Jolie » de 1999 à 2002 avec la compagnie du Grand Chambar.
On a pu également la retrouver dans le répertoire sacré, en alto solo,  dans le « Gloria » de Vivaldi, les « Stabat Mater » de Pergolèse et Vivaldi, le « Requiem » et « les Vêpres solennelles du dimanche » de Mozart, « Didon et Enée » de Purcell, le « Stabat Mater » d’Emmanuel Moor et « la Petite messe solennelle » de Rossini.

Joakim LARI débute son parcours musical à la Chapelle sur Erdre, avant d’intégrer la classe de piano de Ludovic Frochot au Conservatoire de Nantes. CES années d’apprentissage seront l’occasion pour lui de découvrir et se passionner pour le répertoire vocal. Dans ce cadre, il rencontre Mathilde Clavier avec qui il partage une grande complicité artistique et un goût pour l’interprétation.
Après avoir abouti son parcours de pianiste à l’Académie Supérieure de Strasbourg dans la classe de Laurent Cabasso, il rencontre Udo Reinemann et l’académie des Heures Romantiques puis s’installe a Karlsruhe en Allemagne pour étudier l’art du lied dans la classe de Mitsuko Shiraï et Hartmut Höll; duo historique qui ont dédié leur carrière à ce vaste répertoire.
Ses expériences musicales l’ont amené à collaborer avec l’Opéra du Rhin, en tant que pianiste d’Orchestre, chef de chant et accompagnement de récital. Il est pianiste accompagnateur de masterclass en Suisse (Barbara Fuchs), Suède (Ulla Blom), Allemagne (Peter Schreier).  Il travaille également avec Irène Kudela à l’abbaye de Royaumont sur « L’enlèvement au Sérail » de Mozart. Joakim accompagne régulièrement des ensembles vocaux à Strasbourg et en Allemagne et se produit également lors de récitals.

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